samedi 17 décembre 2016

Le val d'ACQUIN jeudi 15 décembre 2016










                                                                Annick et Francine


                                                          Caroline, Nicolas et Bernard






                        Jean-Luc, Annick et Véronique





Nous passons à côté d'une ferme. Heureusement pour les chemins, les vaches restent à l'intérieur









                                                                         Bernard
                                                                        





La pause et les chocolats pour l'anniversaire. Eh oui encore un an de plus cette année pour Pascale 

                                                                      Jean-Luc















































           L'église Sainte-Pétronille d'ACQUIN est un édifice en pierre blanche bâti dans sa globalité vers 1500, possédant une tour achevée par un chemin de ronde et une flèche trapue en charpente et ardoise, une nef flanquée de deux bas-côtés de trois travées, et un chœur d'une travée avec abside formant un chevet à trois pans à l'extérieur, dont les voûtes retombent sur des culs-de-lampe représentant le tétramorphe (les symboles des quatre évangélistes). La nef porte sur sa charpente la date de 1676. Les armes d'Antoine de Berghes, abbé de l'abbaye Saint-Bertin de 1493 à 1531, sont sculptées sur les clefs de voûte du porche et de la première travée du chœur. Les armes de l'abbaye Saint-Bertin sont aussi sculptées aux clefs de voûte de la deuxième travée du chœur et dans le bas-côté Nord, supportées par deux anges.

Le bas-côté nord, dit chapelle de la Vierge, porte aux clefs de voûte de ses deux travées, de magnifiques sculptures, l'une de l'Annonciation, l'autre de Sainte Pétronille. Un cul-de-lampe bûché porte le millésime de 1757. Le bas-côté Sud comprend des culs-de-lampe ornés de grotesques.

La tour flanquée de contreforts diagonaux abrite deux salles superposées auxquelles on accède par un escalier à vis, dont l'une dotée d'une cheminée. On relève dans les deux salles des graffitis datés de 1631 à 1701. Seul le rez-de-chaussée de la tour est voûté. Des quatre cloches que la tour logeait il n'en reste plus qu'une, mesurant 1,02 mètres de diamètre et mentionnant Gérard d'Haméricourt, premier évêque de Saint-Omer, abbé de Saint-Bertin, et datée de 1564.

Diverses pierres funéraires, autrefois placées dans le chœur, datées principalement du XVIIIe, ont été encastrées dans les murailles de l'édifice. Des graffitis courent sur l'ensemble de l'église, dont un du XVIe, et un cadran solaire figure en haut du mur Sud de la nef.



Sources: WIKIPEDIA




                                                         Trompe l'œil sur une façade




          Le fort d'ACQUIN fut élevé au XVème siècle. Les habitants avaient réclamé aux moines de l'abbaye SAINT-BERTIN de SAINT-OMER, la construction d'un édifice où se réfugier avec leur bétail, pour se protéger des incursions anglaises durant la guerre de Cent ans. Les religieux firent bâtir un fort à l'emplacement d'une ferme de l'abbaye. Mais il semblerait que le refuge, terminé en 1415, n'ait finalement jamais servi.










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