Nous avons commencé le parcours du sentier « la Vallée
de Baudringhem » à Wardrecques.
Nous avons traversé la D 190 en direction de
Wittes et de Roquetoire.
La balade que nous a fait
découvrir Denis était magnifique et les 10 km, ne nous ont pas paru long.
Le chemin de la vallée se révèle comme un savant mélange de routes
de campagne, de ruelles et de sentiers de randonnée à l’état pur.
Nous avons traversé des bois, des champs des petits cours d’eau,
La Melde, Petite Becque et la Becque, passé à côté de la ferme de la vallée, du
château de la Morande.
Le parcours était très varié et très attrayant. Par endroit,
c’était encore très boueux et très broussailleux.
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La ferme de la vallée un peu plus loin sur le parcours, complètement isolée dans un paysage à la fois boisé et marécageux. |
Bernadette a su apporter une petite note de réconfort
avec son petit en-cas.
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Emplacement du chateau de La Morande |
Anecdote : un château malmené
En 1840, le château de la Morande a été doté d’un second étage plutôt néfaste à l’équilibre général du bâtiment. Pratiquement inhabité depuis 1889, le château accueille en 1917 l’état-major du corps expéditionnaire portugais. Une première remise en état est entreprise à partir de 1925 mais l’occupation allemande fait tourner court la rénovation. Il faut attendre 1950 pour la réparation du gros œuvre mais le joyau reste inhabité et se délabre petit à petit. Début des années soixante-dix, il est enfin racheté et rénové. Pour supprimer l’étage de trop, un entrepreneur d’Isbergues et un architecte de Saint-Omer sont sollicités. Ils emploient alors une technique plutôt insolite puisque des vérins ont été installés pour soutenir la toiture, avant de la faire redescendre à son niveau d’origine.Le mal est réparé.
En 1840, le château de la Morande a été doté d’un second étage plutôt néfaste à l’équilibre général du bâtiment. Pratiquement inhabité depuis 1889, le château accueille en 1917 l’état-major du corps expéditionnaire portugais. Une première remise en état est entreprise à partir de 1925 mais l’occupation allemande fait tourner court la rénovation. Il faut attendre 1950 pour la réparation du gros œuvre mais le joyau reste inhabité et se délabre petit à petit. Début des années soixante-dix, il est enfin racheté et rénové. Pour supprimer l’étage de trop, un entrepreneur d’Isbergues et un architecte de Saint-Omer sont sollicités. Ils emploient alors une technique plutôt insolite puisque des vérins ont été installés pour soutenir la toiture, avant de la faire redescendre à son niveau d’origine.Le mal est réparé.