ARQUES ...de la bière au verre ....avec Annie (mardi 22 mars )

 

 DE LA BIÈRE....

 Rassemblement , parking de l'ascenceur à bateaux des Fontinettes...

Avant de démarrer , distribution des prix par DIDIER.....😉

 

 A droite , la "nouvelle écluse".

A droite ,la brasserie Goudale ,à gauche l' AMGA  (Association  Municipale de Gymnastique d'Arques )

 

 

Pause rue Pierre Curie

L'ASCENSEUR A BATEAUX

Construit sur le canal de Neuffossé reliant l’Aa à la Lys , l’ascenseur à bateaux des Fontinettes fut construit en 1887 pour remplacer une échelle de 5 écluses. Il est aujourd'hui classé " Monument Historique ".

 
Il fonctionna jusqu’en 1967 à la manière d’une balance hydraulique. (site internet de la ville d' Arques)

 

AU VERRE......

La friche industrielle d' Arc International au centre ville d' Arques.

Nous contournons l'étang de Batavia .

Une infime partie des entrepôts d' Arc International.

 Une femme téméraire ....

Nous arrivons à la nouvelle écluse (50 ans quand même 😉)

 

Arques À l’écluse des Fontinettes, la vie n’est pas un long fleuve si tranquille

PASSAGE SECRET. On pense que tout ce qui se passe à l’écluse d’Arques se résume à des remplissages ou des vidanges de bassin entre portes, au fil du canal de Neuffossé. Mais tout est commandé depuis un poste à une dizaine de mètres au-dessus du terre-plein. Une construction qui fêtera ses 50 ans cet été.

Le poste de commandement de l’écluse des Fontinettes enjambe l’ouvrage qui affiche cinquante années à faire le lien entre la partie haute du canal prévu pour la navigation de péniches entre Aire-sur-la-Lys et Dunkerque, et sa partie basse. Treize mètres de chute amortie par une prouesse technique de béton sur 143 mètres de longueur.

Un fonctionnement étonnant

On pourrait croire que les sas se remplissent ou se vident grâce à « l’entrouverture » des portes. « C’est impossible, avec de tels volumes, il y aurait trop de turbulences », corrige Régis Wallyn, responsable de l’UTI Flandre-Lys. C’est en fait par un système bien plus élaboré que ces gigantesques bassins ingurgitent ou relâchent 25 000 mètres cubes d’eau (en configuration 143 mètres) : « Il y a sous le niveau de l’écluse deux gros aqueducs – on pourrait y circuler en voiture – en parallèle par lesquels l’eau transite pour remonter dans les sas par le fond, grâce à un radier perforé », élucide Yves Bachelet.

Quant à la vidange, là encore, avec de tels volumes, elle se fait sous conditions. Le bief d’Arques est très court, 2 km entre l’écluse des Fontinettes et celle de Flandre en aval : « On ne peut relâcher trop d’eau trop vite sous peine de créer une montée trop brutale, jusqu’à 30 cm », poursuivent les techniciens. D’autant plus que des ponts enjambent le canal.

Autre difficulté, les retours de vagues qui « rebondissent » sur l’écluse aval avant de revenir dans le sas des Fontinettes en à peine 10 minutes : « Les bateaux doivent le prendre en compte au moment de sortir du sas ici ». Pour en minimiser l’impact, un autre réseau de gros tuyaux rejoint l’étang de Batavia, de l’autre côté de l’avenue De-Gaulle, pour servir de tampon avant de redistribuer l’eau vers la Meldyck.

 MERCI JEAN PAUL POUR LES PHOTOS!!!👏👏👏

 montage :Annie